jeudi 13 novembre 2008

Seattle

Bonjour tout le monde!


Ça y est, nous voilà reparti aux 4 coins de l'Amérique! Enfin plutôt un coin bien précis, en fait : le coin Nord Ouest, j'ai nommé : Seattle. Depuis un petit moment on commençait à prendre racine sur le campus, qui est certes magnifique mais c'est quand même un peu dommage de ne pas essayer de découvrir encore un peu les perles que peuvent receller les Etats-Unis.
Vendredi cependant, la Mustang est restée sur le parking, nous avons plutôt choisi de mettre le cap sur l'aéroport. Il y a 800 miles, en un WE ça serait un peu tendu...

Olivier, Julien et Quentin sont partis tôt dans la journée, mais comme il y en a qui ont court, Vincent, Harry et moi ne les avons rejoint que le soir, à la Green Turtle, une auberge de jeunesse un peu chère (très chère pour une auberge de jeunesse, en fait...) mais situé sur Market Place, la place qui forme le coeur de la ville. Pour le dîner, le Boom Noodle est pas mal, pas loin, et assez marrant. La serveuse a même offert un autre Saké Bomb à Harry qui n'avait pas bu celui qu'il avait commandé cul-sec, comme la tradition le recommande, pour qu'il ait une deuxième chance! Il n'a pas failli, faut dire vu les encouragement du Cheu, il ne pouvait pas se désister... Le WE commence bien!
Le reste de la soirée a été consacrée à la découverte de Seattle by night, sous une petite pluie fine et finalement pas si terrible : on s'attendait à bien pire. Et puis de toute façon, les bistrots locaux sont suffisament chaleureux pour que ça ne nous gène pas du tout!


Le lendemain matin, levé aux aurores (vers 9h30...) juste à temps pour la fin du petit dej de l'auberge. Un peu speed et il ne reste plus grand chose pour les lève-tard, mais c'est toujours ça de pris! Coup de téléphone, les filles débarquent! Julie et Laetitia, qui a laissé Damien aller se faire casser la fiole à Phoenix à l'occasion d'un tournoi de rugby en Arizona, nous rejoignent pour compléter le french fiesta team. J'en profite pour féliciter le guerrier du WE : ok, il y a laissé une épaule et a aussi mal partout, mais Damien a quand même réussi la prouesse, avec l'équipe des business student de Stanford, d'arriver en finale du tournois, quasiment sans remplaçant! ça veut dire 5 matchs dans le WE, si ça c'est pas homérique...

Après le petit dej notre première destination a été le Market en question, celui qui est sur Market Place. C'est un des quelques hauts-lieux de Seattle à ne pas manquer, ça vaut effectivement le coup. C'est un bâtiment tout en long, sur plusieurs étages alors que vue de l'extérieur on crois qu'il n'y a qu'un rez-de-chaussée (ne vous inquiétez pas, je vous expliquerai!), avec des tas et des tas de petites échoppes en tout genre, du poisson aux tee-shirts à touristes, en passant par des stands de confiture fait maison (dont une beer-jelly, que je ne recommande pas vraiment... Merci quand même pour nous avoir fait goûter!). Bref il y a de quoi se promener, acheter des cartes postales, parler un peu aux gens, écouter les types qui jouent de la gratte, bref la vie dans une ville du Nord des US! Admirez d'ailleurs la Pompe en train d'immortaliser Seattle, si ça c'est pas de l'artiste... (pas le guitariste, le photographe!)


Un bref passage à l'auberge de jeunesse pour récupérer nos sacs, et nous voilà parti pour l'hotel de la nuit suivante, pour y poser nos affaires pour la journée. Il n'y avait pas de place pour nous à la Green Turtle la deuxième nuit, qu'à celà ne tienne, on a changé notre fusil d'épaule vite fait et trouvé un plan deux fois moins cher à quelques centaines de mètres de là. Merci Hotwire.com! Bon, à 20 minutes à pied, ok, mais on est là pour découvrir Seattle, c'est pas génant! Et puis de toute façon c'est sur notre route, puisque le programme de la matinée c'est le Space Needle, ou space noodle pour les intimes et ceux qui sont un peu nostalgiques du restaurant de la veille... Merci Julie pour la photo très futuriste prise depuis la marina du lac!



















En fait, cette tour, symbole de Seattle, est une pure attraction touristique. D'ailleurs vous pouvez le voir sur les photos précédentes : on joue le jeu à fond, on fait les touristes! On devient bons, pour ça! En plus là c'était marrant, il y avait pas mal de vent en haut... Bref cette tour a été construite dans les années 60, si ma mémoire est bonne, avec pour unique but d'en faire une attraction touristique. Et ça a marché : elle n'a pas coûté grand chose, vu qu'elle ne sert à rien et n'a donc besoin de rien de spécial, et a été rentabilisé en quelques années. Vu le prix des billets pour y monter, ça ne m'étonne pas trop! Par contre c'est vrai que la vue vaut le coup, surtout avec la lumière qu'on avait. Oui, à Seattle il peut faire beau, quoiqu'en dise la météo de Google! Si on les avait écoutés, ceux là, on serait resté chez nous... Mais non, il a fait beau, c'était bien sympa! Vous avez donc eu droit à une magnifique photo de Downtown Seattle au début de l'article, je suis sympa je vous fais aussi profiter de la vue !

A la descente, il commence à être un peu tard, donc dispersion express pour le déjeuner. Il y a ceux qui veulent déjeuner vite fait avec un sandwitch, merci Subway, et ceux qui veulent voir si on ne peut pas trouver un burger quelque part. Et bien si, on peut! C'est bien sûr pour vérifier ça que j'ai décidé de faire partie du second groupe. Au passage nous avons pu profiter des magnifiques aménagements des jardins sous la Space Noodle, qui font eux aussi très science fiction des années 60. Un bus nous emmène ensuite rejoindre les autres, au coeur de la ville. Une zone piétonne sous les arbres qui commencent à perdre leurs feuilles a pas mal de charme, ce qui n'empêche ni Laetitia, ni Vincent, de faire les andouilles! Et moi d'immortaliser l'instant, évidemment...


Dans les petites boutiques du coin, Julie et Julien ont repéré un marchand de verre, et se sont aperçu que la verrerie était en fait à l'arrière de la boutique! Nous sommes donc tous restés scotchés contre la vitre de séparation pour admirer les artisans à l'oeuvre. Il y en avait surtout deux, en fait, un qui s'appliquait à faire des gros trucs qu'il pourrait sûrement vendre très cher, et l'autre qui visiblement était surtout là pour jouer avec la pâte de verre, sans grand résultat. On en était là dans nos conversation, quand l'inutile de la bande a pris une petite boule de pâte, un ciseau de verrier... et a fait naître, en 25 secondes, un petit cheval de verre. Pas besoin de préciser qu'il a mis fin à nos commentaires désobligeants de manière assez définitive... J'avais déjà vu des souffleurs de verre à Venise, faire à peu près la même chose, mais c'est toujours aussi bluffant!


Ensuite nous n'avions pas trop de plan concernant la suite des opérations jusqu'à ce que la magie de l'iPhone nous indique... Seattle undergrounds! Bon alors je suis d'accord avec tout le monde, ça sentait très fort l'arnaque à touristes, un peu comme le mystery spot de Monterey. (un lieu où les lois de la gravité ne s'appliquent plus, pour ceux qui ne savent pas. ) Mais bon après tout, même si on ne sait toujours pas si les modifications gravitationnelles sont dûes aux mouvements magnétiques du manteau terrestre ou au vaisseau extraterrestre qui serait enfoui sous la colline et dont le moteur atomique antigravitationnel perturberait les champs de force, on ne regrette vraiment pas d'y avoir été, au Mystery Spot! La preuve, je suis encore en train d'en parler. Donc cap sur l'arnaque!

Et nous avons bien fait : c'est vraiment la visite que j'ai préféré de tout ce que nous avons fait à Seattle.
Je vous raconte la visite un peu en détails, ceux qui n'ont rien à faire de l'histoire de Seattle peuvent sauter ce paragraphe (comment ça vous n'avez pas attendu mon autorisation pour sauter tous les précédents?? Comment ça mes articles sont trop longs?? Je ne vois pas du tout de quoi vous voulez parler. Mais ne vous inquiétez pas, les enfants peuvent se contenter de regarder les images!), mais ça valait vraiment le coup.
En fait, le fondateur de Seattle n'était pas très malin, et a trouvé une jolie plage, offerte par le gouvernement pour stopper les véléités canadiennes de conquète de territoire, et qui en plus se trouvait être délaissée par les indiens pourtant très présents dans la région. Que ces indiens sont bêtes, ils n'y connaissent rien, se dit le gars! Après avoir vu sa bicoque rasée trois fois par trois tempêtes qui sévissent justement à cet endroit, le bougre décide... d'y fonder une ville! "That's the Seattle spirit", nous dit alors la narratrice. "You got a bad idea? You stick with it and keep going!" (vous avez une idée super naze? continuez!) Et c'est ainsi qu'est née Seattle, sur une zone inondable, avec les rues marécageuses vivant au rythme des marées... En plus le gars était radin, donc pour compler les rues, il a mis toute la sciure de bois qu'il a trouvé dans la scierie locale (c'était juste une énorme scierie, en fait, cette ville), mais les copeaux, pour contrer une marée... C'était juste assez nul, mais pas plus nul que l'absence d'égouts, ou les égoûts trop petits parce que c'est moins cher! (vous voyez le tuyau de PVC qui sort de chez vous, pour le même usage? Prenez en un à peine plus gros, faites le aller tout droit de chez vous jusqu'à la mer, et vous avez le réseau d'égout de Seattle!)

Bref, un beau jour de 1889, après avoir fait brûlé ou exploser toute la ville, il a fallu reconstruire. Oui, il y a eu un incendie, donc pour se donner du courage les gens ont descendu tous les stocks de whisky de la ville, et une fois avoir sauvé ainsi l'alcool du désastre, ils se sont mis à avoir des tas d'idées géniales pour arrêter le feu. Dont prélever dans le stock de dynamite pour faire exploser les maisons avoisinantes de celles qui brûlent, pour couper l'herbe sous le pied à l'incendie. ça partait d'un bon sentiment... L'alcool et la dynamite ne font pas bon ménage, disait la guide. Sans blague! Le lendemain matin il ne restait plus que la longue jetée qui permettait aux gros navires de venir charger les grumes, forcément elle est dans l'eau. Comme ils n'avaient pas encore déssaoulé, ils se sont dit que tant qu'à faire autant repartir de vraiment zéros, et ils sont allés mettre des braises qui restaient dessus! Oui, ils sont... spéciaux, les habitants de Seattle.

Pour la reconstruction, deux avis s'opposèrent : la municipalité voulait en profiter pour réhausser tout la zone, en prenant de la terre dans la colline d'à côté pour tout surélever de quelques mètres, mais les investisseurs privés, détenteurs des buildings et des trottoirs, avaient la flemme. Vous pensez qu'ils ont fini par se mettre d'accord? Pas du tout, you get a bad idea you stick with it! La municipalité a donc réhaussé les rues, et les autres ont reconstruit au même niveau qu'avant.




Et oui, ça veut bien dire que quand tu sors de chez toi, tu fais face à un mur qui peut atteindre la hauteur du deuxième étage de ta maison, au lieu d'un bord de trottoir qui descendrait gentiment de 10 cm! Avec en plus un traffic monstre dans les rues, vu que toute la ville est en reconstruction, je vous passe donc les détails sur les accidents de carrioles qui versent après avoir pris un virage trop court et tombent sur les passants, ou bien les passants qui doivent rentrer chez eux, mais ayant la flemme de monter trois étages d'échelle et pareil de l'autre côté juste pour traverser, retourner s'ennivrer dans le bar voisin pour se donner du courage... Quelques morts plus tard, les habitants se sont donc décidés à relier par un trottoir surélevé la route aux bâtiments, quelque soit la hauteur de ceux ci. Le résultat a donc été tout un étage de la ville descendu sous le niveau de la ville, donnant naissance à une ville souterraine, avec ses trottoirs et tout! Sur la photo, à droite c'est la base du bâtiment, à gauche le mur qui borde la rue, devant vous au fond on voit le trottoir qui tourne au coin du bâtiment, et au dessus, le nouveau trottoir!
Bon c'est aujourd'hui complètement condamné pour des raisons de salubrité, mais la visite vaut quand même le coup, et puis les guides sont marrants!

A la sortie, on ne voit plus vraiment la ville avec le même regard, c'est assez diffile de s'empêcher d'avoir l'impression d'être sur un trottoir suspendu, et qu'on est en train de rater la moitié de la ville! Plus le fait d'avoir vu dans quel état étaient les étais de soutainement des trottoirs en question, ça n'est pas fait pour rassurer le client... Et sur la photo, vous pouvez imaginer la vraie tête de ce bâtiment, qui a en fait deux étages de plus sous la route!










Pour calmer la peur qui nous etraignait, du coup, rien de mieux qu'une petite bière dans un des bars du coin, une salle de billard avec un juke-box avec lequel on a pu jouer un peu, et puis nous sommes allés rejoindre le petit groupe qui avait snobé l'attrape-touriste dans un tout autre quartier de Seattle, à Ballard, à une petite heure de bus de là. J'en profite d'ailleurs pour signaler que si le réseau de bus à le mérite d'exister, il ne vaut quand même pas celui de San Diego qui est beaucoup plus pratique! Mais bon, on ne peut pas non plus vouloir mettre Veolia Transport partout. Ballard, donc, est un quartier sympa, avec de la musique, mais tous les bars avec de la musique live ont une entrée payante ( et ils font pas semblant...), donc c'est finalement un peu décevant. Il y avait quand même un groupe de d'adolescentes qui faisaient leur premier show pour leurs potes dans un magasin de disque dont le propriétaire avait dû obligeament préter le fond de la salle, c'était assez rigolo! Bon, je dis pas qu'on ne faisait pas un peu tâche au milieu de tous les teenagers, mais comme il y avait de la musique...

On a ensuite pu dîner dans un resto branché du coin, qui faisait entre autre de la très bonne viande, et avec de la musique pas désagréable et pas trop fort comme dans beaucoup d'autres bars type bar sportif de ce pays, donc c'était sympa. J'en ai évidemment profité pour faire une petite photo de groupe, avec ici une petite particularité : la pénombre! Pour ne pas mettre le flash, il a fallu mettre un temps de pose de deux secondes, et allez essayer de garder tout ce petit monde immobile pendant 2 secondes... ça a mis de l'ambiance, remarquez, tout le monde a fini par prendre ça à la rigolade, même les deux filles derrières à qui pourtant on n'avait rien demandé, mais qui se sont aussi appliquées à ne pas bouger! Sympa, le décor, de s'adapter au photographe!

Au retour, comme le trajet en bus était long, nous nous sommes mis à chanter une bonne partie de notre répertoire pour passer le temps. Ok, ok, comme le montre la photo on devait déjà s'ennuyer un peu à l'arrêt de bus! Remarquez l'entrain des choeurs, ainsi que l'application du Cheu et de la Pompe à la deuxième voix... Bon, dans le bus on se demandait un peu si le gars allait pas nous sortir de son bus, même si quand même on sait se tenir et qu'on chantait beaucoup moins fort qu'en dehors du bus, mais il n'y avait personne, et ça a dû lui faire de la distraction parce qu'il nous a même félicité à la fin! Il était fan des Beattles, et il ne doit pas avoir souvent une bande de frenchies qui chantent Yellow Submarine à l'arrière...

Notre dernier jour à Seattle a été plus culturel. Nous avons commencé par la visite des musées de la musique et de la science fiction, qui sont au même endroit juste sous la space noodle. Les deux sont pas mal, bien que de styles très différents! Tout le musée de la musique est à la gloire de Jimmy Hendrix, dont c'est la ville d'origine. Il y a des guitares électriques partout, et dans l'ensemble c'est complètement fait pour ravir les teenagers fans de gros son! ça marchait aussi pour nous, enfin en tout cas pour moi, et je me suis bien marré à essayer les Fenders en libre accès à l'étage. Il y avait même de quoi enregister un CD, mais même si on a tous donné le meilleur de nous même dans la petite salle d'enregistrement, nous n'avons pas été récupérer notre chef d'oeuvre, disons que ça manquait un peu de construction à défaut d'enthousiasme! A propos de construction, vous pouvez admirez celle du complexe abritant les deux musées, qui était pour le moins originale.

Le musée de la Science-Fiction, lui, rassemblait toute une collection d'éléments hétéroclytes permettant le tournage de ce genre de films, comme les flingots de toutes sortes, les casques de guerriers des étoiles, et même le modèle 3D de l'étoile noire : amazing... Retour en enfance garanti, on s'est d'ailleurs dit qu'il faudrait quand même qu'on revoit la trilogie de la guerre des étoiles, ça fait longtemps!


A la sortie du second musée, et allant d'aller nous lancer dans les galeries du SAM ( Seattle Art Museum, ils ont pas trop fait dans l'original), un autre petit burger sur le front de mer, dans un truc à touriste, nous a permi de reprendre des forces. Bon, petit c'est vraiment une figure de style, en fait ils étaient assez gros, les burgers... C'était open frites, en plus, ils savent attirer les touristes, ces américains! En plus on avait pas mal marché avant, en en profitant pour prendre en photo la bibliothèque de la ville, qui est aussi une oeuvre architecturale intéressante. Par contre il n'y a absolument rien d'ouvert après 13h, pour le déjeuner, d'où la balade un peu plus longue que prévu, et le test plutôt forcé de l'attrape touriste! Mais finalement on n'a pas été déçu, et c'est plein d'une vigueur nouvelle que nous avons mis le cap sur le SAM.
Je ne m'étendrai pas trop sur le contenu, je n'ai pas une passion folle pour l'art moderne en général, et c'était surtout de ça qu'il était question. Je retiendrai juste l'oeuvre assez marrant qui consiste à suspendre 5 ou 6 voitures au plafond, pour reformer comme sur une pellicule cinématographique l'explosion d'une voiture, qui serait soulevée de terre et retomberait à l'étage d'en dessous après un salto. Le gars aurait pu faire un peu mieux que les néons un peu cheap, pour simuler les éclairs qui vont avec, mais le résultat est assez marrant, et puis c'est pas tout le temps non plus qu'on peut admirer une voiture autrement que posée sur ses 4 roues. Ok ça n'est qu'une Ford Taurus, j'aurais préféré qu'il fasse ça avec des Lamborghini (il est vraiment cheap, ce mec, en fait!), mais ça reste intéressant, la mécanique!

Après ça il a été temps de remettre petit à petit le cap sur l'aéroport. Je dis petit à petit parce qu'il y avait deux avions à des horaires différents, plus les filles qui ne repartaient que le lendemain, mais du coup nous avons quitté le petit bar sur Market Place dans lequel nous nous sommes retrouvé pour prendre un dernier verre et faire les comptes par petits groupes, c'était marrant.
Je réalise en l'écrivant, d'ailleurs, mais ce bar était au sous sol d'un bâtiment, et avait l'air vieux : les lecteurs attentifs auront deviné en même temps que moi de quand il date, ce bar!



Bref un WE sympa, et probablement la dernière incursion dans le Nord avant l'été prochain : il parait qu'il y a certains coins des US où il commence à faire un peu froid... Mais bon, tant pis, il suffit de savoir s'adapter : départ dans une semaine pour Hawaii!

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