dimanche 24 mai 2009

Faut bosser??

Bonjour tout le monde!

Vous devez vous demander ce qu'on devient, en Californie... Il se trouve que depuis un petit moment, je n'ai plus trop le temps d'écrire!
Mais je ne voudrais surtout pas que vous vous inquiétiez, donc je vais quand même donner quelques nouvelles. En fait, comme je suis en train de terminer le dernier quarter de mon master, il faut que je boucle le rapport qui va avec, et il parait que ça ne se fait pas tout seul... Vous avez même droit à une petite photo prise sur le coup de 3h30 du matin, prise lors d'un petit craquage au milieu de la rédaction d'un paragraphe! En même temps, vous me direz, comme j'ai tendance à partir un peu moins à droite à gauche, du coup, ça me laisse le temps de donner libre cours à mon expression artistique pour immortaliser l'appart. Mes natures mortes ont tendance à pas mal tourner autour du thème du café, curieusement, je ne sais pas pourquoi! D'ailleurs, Anne, merci beaucoup pour le mug, tu vois il me sert toujours tous les jours : je savais bien que le prendre dans mes bagages était essentiel, il y a deux ans!


Mais ne croyez pas que je ne fais que bosser pour mon mémoire : je bosse aussi pour le sauver, tout court, pas pour le faire avancer! Cas d'école de la loi de Murphy : que ce passe-t-il quand on écrit un rapport sur un ordi? Réponse : le disque dur crash. C'est normal, il ne faut pas avoir l'air surpris quand ça arrive, c'est comme ça que la vie marche... Heureusement, le pingouin caché dans mon ordinateur a réussi à ne pas tout perdre, et un back-up d'urgence est parvenu à sauver l'essentiel. Coup de bol, là, pour le coup, je crois que tout le monde n'a pas forcément autant de chance... Du coup, ça m'a laissé un peu de temps libre, le temps de recevoir le nouveau disque, d'où une petite sortie nocturne pour aller hurler avec les loups de Palo Alto lors du lever de la plaine lune. Bon ok il n'y pas des masses de loups dans Palo Alto, donc j'étais un peu seul à hurler, mais la lune était chouette! (Stan, je sais pas si tu lis ce blog, j'espère pas, sinon promis, un jour j'arrêterai de te faire honte et j'apprendrais à faire du HDR...)


Heureusement, pour ne pas que je perde complètement la boule, Damien me force à sortir de temps en temps pour aller jouer au tennis, Stéphanie aussi aujourd'hui, d'ailleurs, et le Cheu, imperturbable, continue d'organiser des events à tour de bras. Là, c'était le french barbec de fin d'année, bien cool! C'était l'occasion de prendre des photos, en plus, vu que Vincent m'a bombardé photographe officiel de l'évènement. (il avait personne d'autre sous la main, et puis ça m'apprendra à faire le malin...) Après, ça ne l'a pas empêché de râler parce que lui et Tala ne voulaient pas être pris en photo! Regardez un peu si ils n'ont pas l'air fâchés, là!


Vous pensez bien que je ne me suis pas laissé impressionné, surtout vu le défilé de stars que l'évènement a attiré. Des photos à ne pas rater! Thom et Stef, bien sûr, beaux gosses dans le soleil couchant... Et sans poser, en plus, naturellement la classe! Thomas, tu vois, travailler ton regard perdu dans le lointain de brun ténébreux alors que ta belle se pâme dans tes bras, ça valait le coup. Les amis des stars sont aussi forcément des stars, surtout quand ils ont une paire de RayBan de pilote (prononcer paille-lot') comme celle-là! Je vous présente donc Brad, leur colloc de longue date, qui fait genre qu'il peut se fondre dans la foule.


Venus spécialement pour l'occasion, trois garçons plein d'avenir! Vous avez déjà fait la connaissance avec le premier, vous connaissez sans doute aussi les deux autres, présents dans la région depuis un bon moment maintenant : Vincent et Laurent. La démarche souple et décontracté, le regard vif et le verbe pétillant, voilà une arrivée qu'on ne peut que remarquer! Pour le verbe pétillant, je vous renvoie à son blog, qui doit être dans les liens que j'ai mis à droite.



Bon par contre, le problème, quand on est le seul photographe sur place, c'est qu'après, il faut faire face à toute le demande de la part des magazines people... Ben oui, c'était pas open, non plus, il fallait montrer patte blanche, tout le monde ne pouvait pas rentrer. Et comme je ne sais pas dire non, je me suis retrouvé à devoir assumer le fait que certains des clichés faisaient la une des journaux en France... Je n'avais rien demandé! (merci Thomas pour avoir ... disons... forwardé l'info!)



Et toujours grâce au Cheu, j'ai aussi pu profiter de l'orchestre philharmonique de Stanford, qui jouait la semaine dernière un concert dédié à Brahms. Je n'avais pas écouté de musique classique depuis longtemps (ça ne court pas spécialement les rues, ici, en même temps...), c'était très agréable!
A bientôt donc, j'espère revenir avec un peu plus d'assiduité dans pas trop longtemps : le 5 juin de toute façon, c'est terminé! Espérons que la puissance des dead-lines fasse une fois de plus son oeuvre...

samedi 16 mai 2009

Salsa

Bonjour tout le monde!


Une danse manquait parmi toutes celles au concours que je vous ai présentées dans le dernier article : la salsa! Et ça aurait été dommage de ne pas en avoir, c'est vraiment chouette à regarder. Je crois que j'aime la salsa au moins autant que je la danse mal, et ça n'est pas peu dire!

Laetita, qui elle se débrouille très bien et prend même des cours à Stanford, a eu vent via ce biais d'un spectacle monté par le groupe salsa du département de danses latinos de Stanford. (Je ne suis pas trop sûr, pour le nom du département, je crois même que je l'ai inventé de toutes pièces, mais en tout cas c'est ce qu'ils font.) Elle me propose d'y aller, je l'accompagne, nous voici dans l'auditorium au nom imprononçable en face de Tressider, au centre de Stanford donc. Dès le début, le ton est donné : tant par les lumières que par les costumes chamarés, nous sommes en Amérique du Sud! (oui, Quentin et Olivier, ne faites pas les malins, il n'y a pas que vous. Pareil pour toi, Gab. Ouais, ok, en fait c'est d'un commun, d'être en Amérique latine...)

Mais il n'y en a pas que pour les filles, les gars aussi se donnent leur petit style! Ici, sur la photo, le mec en blanc qui a la classe... L'éclairage était assez soigné pour les effets de ce genre-là! Dès le début, le ton du spectacle est donné, c'est très bonne ambiance et les danseurs sont excellents. En plus ils ont un fan club bien soutenu dans l'auditoire, c'est assez rigolo! Et les chorégraphies sont vraiment bien montées et rendent très bien. Sur la photo d'en dessous, arrivée des demoiselles attendues par ces messieurs qui se la pètent un peu : on est latino ou on ne l'est pas! Eux, c'est bon, on sait dans quel camp ils sont. Au premier plan, le gars on l'avait déjà vu aux cours de salsa, et on le savait déjà : sur scène, il est très très fort...




Mais ça n'est pas parce que les mecs se la jouent que les filles vont être en reste, elles aussi peuvent faire leur starlettes! En l'occurrence, sur la photo, la jolie prof du cours de danse! Mais oui, c'est bien sûr parce que je la connaissais du cours que je l'ai prise en photo... Tout de suite, vous croyez quoi! Mais alors, n'importe quoi, hein.




Et donc les deux ensemble, ils gèrent! Une bonne leçon de danse... Confirmation : la salsa, c'est vraiment trop la classe. Deuxième confirmation : avant d'en arriver là, il va falloir apprendre quelques trucs... En même temps, pour les filles, c'est trop facile : c'est le gars qui guide, elles il suffit qu'elles sourient! Mais ok, je reconnais, c'est déjà tout un art. Et au final, les deux ensemble, ça rend cool! (c'est bon, c'est bon, c'est pas vrai, c'est dur aussi pour les filles, j'exagère...)













Mais l'histoire ne s'arrête pas du tout là. C'est pas le tout de se la jouer belle gosse, de danser avec le beau gosse du coin, tout ça... Que se faire si le beau gosse d'à côté se pointe?? La crise... Comment choisir entre les deux... Ça ne va probablement pas être facile, et après avoir posé la question à un mystérieux correspondant, une voix off répond à la demoiselle en détresse : "tu n'arrives pas à choisir? Il va donc falloir les mettre à l'épreuve. First of all : get their attention."
Paf cliché. Regardez au fond : she's got men's attention...








Là dessus, la lumière s'éteint, puis se rallume pour laisser la place à un spectacle de danse du ventre, qui doit schématiser le passage "get men's attention". C'était pas mal, j'avais jamais vu de danse orientale comme ça, je crois, ça a pas l'air facile du tout! Et ça changeait bien d'ambiance, nous voici maintenant plongés dans les mystères de l'Orient. La lumière était plus tamisée que la musique n'était douce, (ceux qui ont vu la référence, bien joué), mais le résultat rendait pas mal du tout. Bon par contre pour les photos, avec la lumière tamisée en question, c'était un peu plus galère, désolé... On va dire que le flou est un effet artistique! Le mouvement, tout ça...







Ensuite, la lumière se rallume, pour laisser la place au spectacle des deux types en question se disputant les charmes de la belle. Là, ça a été une grande perf : je pense que danser la salsa à 3 sans s'emmêler, en faisant en plus des trucs de fada parce que chacun des deux garçons essaye d'épater l'autre et de se tirer avec la fille, ça doit pas être facile! Je vous rassure, malgré tout, la fille en question avait toujours l'air à l'aise! Le sourire, le sourire, tout est là, je vous le répète. Au final, je crois que c'est le type du début qui a gagné, mais en même temps, si il avait fallu, moi aussi j'aurais parié sur lui, il était vraiment très fort...

Ensuite, sans transition, les mariachis! Comme ça, sans prévenir, tout un orchestre mexicain en costume traditionnel (c'est comme folklorique, pour ceux qui ne parlent pas arabe) s'est pointé pour nous jouer la sérénade. Il y avait un peu de tout, chacun y est allé de son petit solo ou de sa petite chansonnette, le tout en se marrant, ils étaient très en forme! Et comme chacun sait, les mexicains sont de grands sensibles, tous prêts aux élans de leur cœur d'artichaut... Du coup, il y en a forcément un qui a craqué. Partie du show, impro? Je pense que je ne le saurai jamais, toujours est-il qu'après un solo inspiré de sa redoutable gratte et un discours aussi incompréhensible qu'enflammé, notre caballero est allé offrir la fleur qu'il avait à la boutonnière à la danseuse en rouge!
















Est-ce que ça a marché? ça non plus on ne le saura jamais, puisque sans transition le décor change du tout au tout, place au twist. Là, c'était assez curieux, mais les danseurs avaient l'air d'avoir tellement la patate que c'était vraiment rigolo! Le couple sur la photo à gauche, surtout, avait pas mal la touche. Le basketteur de 2m de haut, type grand duduche, était accompagné par une danseuse qui n'avait pas l'air de faire le poids, comme ça, de loin, mais en fait elle avait une pêche d'enfer et un style trop marrant. Au final je n'ai toujours pas très bien compris comme ce spectacle-là s'intégrait dans l'ensemble, mais ça n'est pas très grave, ça a continué de mettre tout le monde de bonne humeur!



Ensuite, retour aux danses hispanisantes : le flamenco maintenant. Là, pour le coup, ça allait, le scénario n'était pas très difficile à suivre. Et puis en plus, le flamenco, ça va quand même moins vite que la salsa, donc même moi je pouvais deviner tout seul ce qui se passait et je n'avais pas besoin qu'on m'explique. Au début, le grand hidalgo dégingandé danse avec la fille, de manière assez alanguie, ils s'y croient un peu. La fille, très à l'aise, un peu en terrain conquis, ne fait pas trop d'efforts. Mais attention à ne pas trop se relâcher... Et oui, parce que manque de pot, on n'est jamais tranquille, arrive la hot girl du coin. C'est toujours pareil, il faut toujours que quelqu'un vienne mettre son grain de sel. Et en l'occurrence, c'est l'hidalgo qui est tout d'un coup assez sensible au grain de sel... S'ensuit bien évidemment une homérique bataille de jupon, au sens propre pour une fois! Là, tout d'un coup, le rythme s'accélère, on sent que la fille du début stresse un peu...






















Mais trop tard, la belle inconnue a ravi le cœur du grand spanish : la première a beau essayer de le retenir, la pause finale, pendant que la lumière s'éteint lentement et que j'ai le temps de prendre une photo, lui laisse assez peu d'espoir... Le début était un peu mou, donc j'étais sceptique, mais en fait la musique s'est emballé et l'histoire donnait pas mal d'intérêt à la danse, au final j'ai bien aimé aussi! Bon après, on ne sait pas ce qu'il advient du pauvre type qui vient de se faire tourner en bourrique, le hang-over du lendemain un fois que la belle inconnue sera partie risque d'être un peu dur, mais ça, l'histoire ne le dit pas...

On quitte à nouveau l'Espagne d'il y a quelques siècles, retour à l'Amérique latine contemporaine : ces clubs trop déjantés, où tout le monde danse la salsa partout, ça ne va pas du tout, mais que fait la police! La police arrive donc, bien motivée pour fermer le club en question. Seulement voilà, dans le club, une demie douzaine de demoiselles dansent langoureusement sur le danse floor... Sous ces latitudes, on pourrait croire que les policiers sont un peu longs à la détente. Pas du tout, là ils ont switché assez vite sur le plan B : salsa pour tout le monde! Il sera toujours temps de fermer la boite de nuit ensuite, non?
Ok,je ne dis pas que le scénario était super original, mais ça faisait tellement marrer les faux flics de jouer les vrais durs que c'était vraiment rigolo... En plus, les danseuses se marraient en voyant les types essayer d'avoir l'air crédible en flics, c'était vraiment bonne ambiance.


A nouveau sans aucune transition, les danseuses africaines de Stanford! Alors celles-là, elles sont increvables, elles sont partout. Franchement, ça doit bien être la quatrième fois que je les vois faire leur truc. Déjà, à chaque fois qu'on va au Cantor Art Centor, le musée de Stanford (surtout connu pour son énorme collection de statues de Rodin), elles sont là à danser frénétiquement. Et là, sorties de nul part et au prix d'un petit saut de continent entre les danses, les revoilà! Là pour le coup, c'est quand même un type de danse un peu spécial, j'avoue que j'ai un peu plus de mal. Des goûts et des couleurs, on va dire qu'il en faut pour tout le monde!

Pour finir néanmoins, retour à la salsa sur la musique de la panthère rose. Oui, au niveau des costumes, ça va, tout le monde sur scène est dans le thème...
Un très bon spectacle, donc, merci beaucoup Laetitia de m'y avoir emmené! Il y en a un autre dans quelques semaines, dans le même genre, il est possible que j'aille y faire un tour! Et si jamais certains passent dans le coin... Je ne sais pas encore quand c'est, mais renseignez-vous, et allez-y, ça vaut le coup!


jeudi 14 mai 2009

Danse à Stanford

Bonjour tout le monde!


Il se trouve que j'ai assisté à deux spectacles de danse à Stanford, et que les deux ont de loin dépassé mes attentes : je vous en fait donc profiter! Et puis je reconnais que ça fait un petit moment que je n'ai rien écrit. A ma décharge, je bosse toujours, j'ai eu des problèmes d'ordi, tout ça... Mais le quarter se termine dans un mois, et ensuite vacances, ne vous inquiétez pas j'aurai le temps de me reposer, c'est vrai que là le rythme n'est pas humain.

Il y a un peu plus de deux semaines, j'ai été voir le concours Cardinal Classics, qui est j'ai l'impression l'une des plus grandes compèts de danse de Californie. Du coup le niveau est assez élevé, je peux vous le dire! Je suis par contre incapable de vous faire la liste de toutes les danses sur lesquelles les couples doivent montrer ce qu'ils savent faire, il y en a vraiment trop. Du tango au mambo, (la danse où il faut être le miroir de l'autre, comme dans un film célèbre), tout y passe. Et les danseurs ont l'air de se faire plaisir, les passes les plus marrantes y passent! (c'est le cas de le dire, pardon pour cette astuce un peu foireuse, j'ai pas fait exprès...)


Et les couples de "juniors" (comprendre : vraiment des gamins de 12 ans, que ça fend le cœur de voir danser le tango à la perfection alors que moi je galère déjà sur tout le reste!) n'ont rien à envier à leurs aînés : ils sont tout aussi à l'aise dans chacune des danses, et ont également l'air de trouver ça assez marrant! Ça va, on ne dirait pas qu'ils sont trop brimés par des parents qui les poussent à la compétition...





Ensuite, la compétition par équipe, qui a donné lieu à un mélange des genres curieux mais assez marrant. Il y en avait pour tous les goûts, vous pouvez voir sur la photo à gauche qu'il y en a qui se sont lâchés sur les costumes! A chaque genre de danse correspondait plus ou moins le thème des costumes, c'était flagrant pour le flamenco mais pour les autres c'est vrai que c'était un peu plus foireux... Le plus mauvais goût est aussi de mise, cf la photo d'en dessous que je ne devrais pas avoir besoin de trop commenter. En plus le niveau de ceux-là était déplorable et l'ensemble catastrophique... Une équipe dont on se serait bien passé. Heureusement les deux dernières équipes étaient de loin les meilleures, histoire de rester sur une bonne note!



D'abord, celle de flamenco. Déjà, la musique est toujours super cool, il se trouve que j'aime bien le flamenco... Et ensuite, d'une part les costumes étaient bien choisis, et d'autre part les danseurs vraiment bons. Le flamenco, il me semble que normalement c'est juste pour un couple tout seul, mais je vous assure qu'en danse synchronisé comme ça c'est vraiment pas mal du tout!




Dans un tout autre style, l'équipe la plus marrante était composée d'un certain nombre d'Indiana Jones hilares et du même nombre de muses indiennes en sari. Pour ce qui est du mélange des genres, ceux-là n'étaient pas mauvais non plus! Et ça se voyait aussi dans les danses, il y avait pas mal de petites influences bolywoodiennes que certaines demoiselles que je connais n'auraient pas reniées... C'est en tout cas de loin ceux là qui avaient l'air de plus se marrer, et c'est ceux là que j'ai préféré!




Le concours s'est bien sûr terminé sur les danses plus classiques, fin de soirée oblige, comme la valse, où là les grandes tenues de gala étaient de mise. Du beau spectacle! L'énorme regret, c'est que le cadre soit si moche : ok, c'est un concours, mais il y a suffisamment de belles salles à Stanford pour qu'on ne soit pas obligé de faire ça dans un gymnase... J'imagine que les parquets bien cirés et bien égaux sont pratiques, mais quand même!



Là encore, les petits n'étaient pas en reste : oui, c'était bien les 3 mêmes couples, ils gèrent la valse aussi bien que le tango! Les juges avaient l'air de dire qu'ils étaient bien braves d'essayer de faire comme les grands, et qu'un jour eux aussi sauraient danser : je les ai trouvé vaches, ils se débrouillaient quand même beaucoup mieux que tous les gens que je connais... Et eux aussi avaient fait des efforts sur les costumes!




Et en fait, je vais m'arrêter, là, il est tard et ça fait suffisamment de photos! La suite au prochain numéro, avec le spectacle de salsa! Avec quand même, pour finir, le coucher de soleil de ce soir, qui était pas mal...